Vendredi soir, j'étais l'invité de la Greater Toronto Workers' Assembly, pour un échange à propos de Québec solidaire. Il y avait une cinquantaine de personnes, dont quelques unes que je connaissais par mes implications précédentes dans des groupes socialistes. Je pense avoir fait une bonne présentation sur les origines de QS, mais la partie la plus intéressante a été, comme c'est souvent le cas, les réponses aux questions et interventions de la salle.
Le GTWA est un regroupement de diverses tendances de la gauche à Toronto, incluant des gens de Socialist Project, International Socialists, New Socialists, Communist Party, plus un certain nombre de militantes et militants sans affiliation préalables et issu-e-s des mouvements sociaux. En guise de comparaison, je dirais que c'est l'équivalent Ontarien de du RAP. Ce n'est pas un parti politique, et ses activités sont concentrées dans la solidarité avec les luttes et campagnes en cours (ex: la récente grève des postes, la Palestine...) et les discussions politiques informelles, comme celle à laquelle j'ai assisté.
Le Groupe avait adopté, en mai, une résolution en faveur du développement de relations avec QS, et la soirée de vendredi se voulait une première étape dans cette direction. Je les ai invités à envoyer des observateurs et observatrices à notre congrès des 9-11 décembre, qui portera sur la santé, l'éducation, la justice sociale et la culture.
Les questions portaient principalement sur les grandes orientations de Québec solidaire. Les gens voulaient savoir ce que QS a à dire sur le changement climatique, la question nationale québécoise, le capitalisme, etc. Il y avait aussi beaucoup d'intérêt pour notre fonctionnement, nos rapports avec les mouvements sociaux, l'importance du féminisme ou la place qu'on accorde aux élections.
J'ai répondu brièvement et au meilleur de ma connaissance à la plupart des questions posées. Il y en avait des tonnes! À la fin, j'avais l'impression qu'on aurait facilement pu discuter pendant toute une journée, de la question du Québec (dont on ne parle pas souvent en Ontario...), de ce qu'un parti politique de gauche peut faire pour appuyer les luttes sociales, du programme de QS en construction, de l'expérience concrète du développement du parti, etc.
J'espère avoir d'autres occasion de faire connaître Québec solidaire au Canada anglais. Cette expérience m'a donné un élan de confiance en moi et d'optimisme quand à la capacité du parti à relever les défis qui s'annoncent.
Le GTWA est un regroupement de diverses tendances de la gauche à Toronto, incluant des gens de Socialist Project, International Socialists, New Socialists, Communist Party, plus un certain nombre de militantes et militants sans affiliation préalables et issu-e-s des mouvements sociaux. En guise de comparaison, je dirais que c'est l'équivalent Ontarien de du RAP. Ce n'est pas un parti politique, et ses activités sont concentrées dans la solidarité avec les luttes et campagnes en cours (ex: la récente grève des postes, la Palestine...) et les discussions politiques informelles, comme celle à laquelle j'ai assisté.
Le Groupe avait adopté, en mai, une résolution en faveur du développement de relations avec QS, et la soirée de vendredi se voulait une première étape dans cette direction. Je les ai invités à envoyer des observateurs et observatrices à notre congrès des 9-11 décembre, qui portera sur la santé, l'éducation, la justice sociale et la culture.
Les questions portaient principalement sur les grandes orientations de Québec solidaire. Les gens voulaient savoir ce que QS a à dire sur le changement climatique, la question nationale québécoise, le capitalisme, etc. Il y avait aussi beaucoup d'intérêt pour notre fonctionnement, nos rapports avec les mouvements sociaux, l'importance du féminisme ou la place qu'on accorde aux élections.
J'ai répondu brièvement et au meilleur de ma connaissance à la plupart des questions posées. Il y en avait des tonnes! À la fin, j'avais l'impression qu'on aurait facilement pu discuter pendant toute une journée, de la question du Québec (dont on ne parle pas souvent en Ontario...), de ce qu'un parti politique de gauche peut faire pour appuyer les luttes sociales, du programme de QS en construction, de l'expérience concrète du développement du parti, etc.
J'espère avoir d'autres occasion de faire connaître Québec solidaire au Canada anglais. Cette expérience m'a donné un élan de confiance en moi et d'optimisme quand à la capacité du parti à relever les défis qui s'annoncent.
Commentaires
Enregistrer un commentaire